Dîner entre amis

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il y a 9 ans

On m’a annoncé une surprise en ce dimanche enneigé, c’en est vraiment une. Ma conjointe a invité une de nos vieilles connaissances et son nouveau conjoint. Elle, Jenny, la cinquantaine passée, bien conservée ; lui, Denis, la stature imposante de l’homme de pouvoir vieillissant. J’en ai toujours pincé pour les deux que j’ai connus séparément. Lui, séducteur né, brille autant par son intelligence que par ses mœurs ambiguës et me fait depuis toujours du rentre dedans à la limite de la décence. Elle, a été longtemps mon adjointe, ce qui m’a toujours empêché de lui avouer mon désir. Dès l’accueil, je me sens excessivement volubile et avale deux grands verres de whisky pour essayer de me détendre. Nous sommes tous quatre, par la suite, installés sur la table de la salle à manger positionnés en carré sur une étroite table.

Nous buvons notre verre en devisant gaiement.

L’un et l’autre ne cessent de me prodiguer d’amicales bourrades ou saisissent mes mains en une caresse pour évoquer des souvenirs heureux. Lorsque les nécessités de la cuisine tiennent ma compagne longtemps éloignée, notre amie continue son babil en posant sa main sur mon genou et la fait remonter doucement sur ma cuisse. Je suis rouge de gêne et de désir. En devisant gaiement son compagnon pose la sienne à mon entre-jambes et masse mon bas ventre. Je suis sans voix, souffle coupé, incapable de réagir. Pire, mon tortillement encourage leurs mains qui ne cessent de s’enhardir. L’une glisse dans ma ceinture, à même la peau, et se faufile dans mes vêtements. Au retour de la cuisinière avec les entrées, ma braguette est ouverte, mon sexe est extrait de mon boxer. Je mange le premier plat dans un état second, conscient de mon indécence, leurs mains ne cessant de solliciter mon intimité. Ils remplissent sans cesse nos verres de vins et une douce euphorie succède à la gêne.

Lorsque la manœuvre du plat de résistance arrive, notre ami propose son aide à la cuisinière tandis que notre amie me branle de sa main douce en me roulant une pelle. Je respire ses odeurs corporelles suaves et m’en enivre. Ma main s’égare vers ses seins et ses cuisses. Mais j’ai peur de voir les autres revenir avec les victuailles et ne profite pas vraiment de l’instant. Quelques minutes plus tard la cuisinière et son aide de camp apparaissent. Sa tenue est dans un désordre explicite ; son chemisier à demi ouvert laisse entrevoir une poitrine sans voile ; son pantalon est entièrement déboutonné et tient par miracle sur ses hanches. Quant à lui, ses cheveux sont décoiffés et sa chemise est à demi sortie du pantalon. Nous nous sustentons, un peu gênés, et buvons d‘abondance. Les regards échangés sont provocants, les mimiques sexuées.

Le plat terminé, Denis se lève en même temps que la maîtresse de maison, la saisit dans ses bras et commence à la dénuder totalement. Il déboutonne lentement son chemisier en massant doucement ses seins. Ses mains entrent dans sa culotte en glissant sur ses hanches et l’évacue, en même temps que le pantalon, vers les pieds. J’ai l’impression de la redécouvrir. C’est une femme amphore aux seins lourds, aux larges fesses et aux cuisses charnues. Par contre, toutes ses attaches sont élégantes. Epaule, cou, bras et mollets sont d’une grande finesse. Ses clavicules sont saillantes, ses mains et ses pieds longs et fins. Ses aisselles sont soigneusement épilées et le triangle de son sexe est bien entretenu. Sa courte chevelure châtain est raccord avec lui et rehausse le bleu des yeux et le blanc laiteux de sa peau nue. Cette blancheur renforce l’impression de nudité totale. Son visage anguleux est jovial et marqué des rides du sourire.

Elle est totalement offerte et se tortille, indécente, pour faciliter son ouvrage. Il l’oblige à s’asseoir loin de la table, bien en vue et écarte largement ses cuisses pour montrer la totalité de son intimité. Sa lourde poitrine semble tendue de désir ; ses grandes lèvres proéminentes sont humides et une fine coulée de cyprine orne la cuisse. Il passe derrière elle et recommence à caresser ses seins et son sexe. Sa tête part en arrière, lèvres entrouvertes et yeux clos. De deux doigts, il entre dans son vagin et s’agite en de larges gestes qui la pénètrent profondément. Ses jambes imposantes s’écartent encore jusqu’à l’impossible. Ses bras élégants se soulèvent pour caresser la nuque de son amant. Ses aisselles sont d’une touchante nudité. Elle savoure la caresse puis exprime son plaisir d’un doux feulement. Tout son corps est arc-bouté, soumis aux regards et aux caresses.

Pendant ce temps, Jenny m’a, elle aussi, entièrement dénudé. Mon sexe érigé dément ma gène apparente. Je ne déteste pas ce corps massif au ventre proéminent surplombant un court sexe blanc sans prépuce qui contraste avec mes longues bourses bistre. Avec l’âge et le poids, je suis doté de deux petits seins qui remplissent agréablement ma main quand je me caresse. Mes traits réguliers, ma courte houppette à la Tintin me donne un petit air jeune que dément mon corps alourdi. Mes membres sont solides et mes muscles bien dessinés. Mes fesses d’un relief accueillant.

Elle ôte son chemisier et son soutien-gorge et dévoile une poitrine de jeune fille d’une taille fort respectable. Comme son visage, son corps est assez dense mais élégant et régulier. Elle est de taille moyenne et ses formes le sont aussi. Son ventre plat suggère qu’elle n’a pas connu la maternité. Elle voit que ses deux obus me fascinent et me les donne alternativement à téter. J’exulte et le bout de mon sexe devient humide. Elle recommence à me branler en me fixant de ses grands yeux noisette. Ma conjointe, qui a repris conscience, me lance, dans un sourire complice, un regard de reproche, avant de replonger dans son plaisir. Comme elle, je n’y peux mais.

Après quelques instants de doux supplice, Denis fait lever ma compagne. Il l’installe, pliée en deux au niveau du bassin, les mains fermement serrées sur le dossier de la chaise, pieds au sol et jambes largement ouvertes. Ses seins pendent lourdement et s’agitent à chaque mouvement. Il se déboutonne et s’installe derrière elle pour la prendre en levrette. Les larges cuisses de son amante s’écartent encore pour faciliter l’accès de son sexe. Il approche sa large verge déjà terriblement tendue. Le mouvement est ample et violent. Il semble durer une éternité. Ils poussent tous deux des « han » de bûcheron à chaque mouvement. Puis, après quelques minutes, leur souffle devient court et précipité. Elle hurle de plaisir en creusant ses reins (jolie image pour le voyeur que je suis !) tandis que le corps massif de son a b u s e u r se cambre et tressaute.

Pendant ce temps, Jenny m’a enjambé, toujours nu sur ma chaise. Elle a troussé sa jupe, qu’elle porte sans culotte, et s’est fichée sur mon sexe. Elle s’agite en cadence et ses seins fermes se balancent doucement sous mon nez. Je sens mon plaisir monter. Mes mains caressent ses jambes musclées aux formes régulières, qui se prolongent par un pied romain. Elles enserrent ses fesses au relief digne de damner un évêque. (C’est bien ce que j’avais vu !...) Je risque un doigt entre ses deux fesses rebondies et bien proportionnées. J’entre dans son cul et m’y agite. J’inonde son vagin un instant avant d’entendre son souffle s’accélérer dans un discret orgasme (sincère ou simulé ?).

Voilà bien longtemps que notre couple n’a connu une telle onde de plaisir ensemble. Nous sommes ravis et à peine surpris d’entendre nos invités nous interdire de nous rhabiller. Nous sommes encore plus surpris d’être ainsi sans volonté et de leur obéir aussi facilement. Pour le dessert, nous sommes tous deux entièrement nus, je devrais même dire exhibés tant nous nous exposons avec plaisir. Nos invités à demi dénudés : lui montre son sexe de belle taille, ses fesses imposantes et ses jambes dodues ; elle, nue jusqu’à la ceinture, torse et bras, exhibe ses seins puissants surmontées d’épaules aux reliefs anguleux. Je les sens fiers de leur anatomie ainsi dévoilée. Chacun se régale du spectacle des autres et l’alcool continue à couler à flots.

A l’heure du café, la neige à tout recouvert dehors et nous proposons à nos amis de dormir sur place. Ils acceptent.

La soirée continue sur les larges canapés du salon où ils finissent de se dénuder. Jenny s’assoit à côté de moi et nous nous caressons. Elle est l’opposé morphologique de ma compagne. Chez elle, tout est dessiné avec une harmonie classique, à la limite du géométrique. Son sexe imberbe comme celui d’un enfant, qui ne laisse voir qu’un fin trait, et l’imposante courbure de ses reins sont un plus appréciable pour mes mains baladeuses. Elle est telle que je l’avais rêvée. Denis et ma compagne sont collés l’un à l’autre. Le relief massif et quelque peu adipeux de ce dernier est imposant à contempler. Tout est large chez lui mais bien proportionné. C’est plus une « baraque » qu’un gros. Sa tête carrée au regard vif derrière ses lunettes complètent avantageusement l’aspect général. La gestuelle est de plus en plus sans tabou et chacun visite les orifices de son ou sa partenaire.

Nous sommes à peine surpris lorsque nos invités échangent leur place et que soudain Denis me branle de ses larges battoirs tandis que Jenny introduit quelques doigts dans la vulve de mon amie qui les engloutit. Nous leur rendons la pareille, ou presque. Nos lèvres et nos langues s’intéressent à leurs sexes et leurs culs. Nous les avalons et pénétrons de nos bouches. Ils nous avalent et nous pénètrent. Je ne sais ce qui m’excite le plus entre les caresses viriles de Denis et la vision des deux femmes qui ne cessent de stimuler réciproquement leurs zones érogènes. J’en ignorais la moitié. Je les vois se lécher, de la plante des pieds à la racine des cheveux, se masser tout le corps et ses recoins cachés, y compris le cuir chevelu. Je me retourne, m’assois sur les genoux de mon partenaire, face à face, sexe contre sexe, ventre contre ventre, et nos caresses deviennent enveloppantes. Nous voici tous au comble de l’excitation et je propose, tout naturellement, de finir l’ouvrage dans notre grand lit. Nos invités saisissent un flacon de lubrifiant et un gode ceinture dans le sac de Jenny et nous suivent sans mot dire.

Nous leur sommes soumis et imaginons avec plaisir ce qui va se passer. Ils nous positionnent tous deux à quatre pattes au bord du lit, jambes écartées. Jenny se ceint du gode. Ses fines lanières s’insèrent entre ses fesses comme un string, son double phallus s’installe dans son con et l’étroite ceinture mortifie sa taille. Elle présente à nos bouches cet appendice artificiel que, complètement érotisés, nous suçons et léchons d’abondance. Cela bouge dans son intimité et nous sentons son désir. J’admire encore une fois cette silhouette bien proportionnée ou seuls les reliefs des tétons et des fesses déséquilibrent harmonieusement l’ensemble. Pendant ce temps, Denis lubrifie nos culs et commence à nous besogner d’un puis de deux doigts. Je suis sa marionnette de gauche et ma compagne celle de droite, hanche contre hanche. Le plaisir commence à monter, autant du fait de la pénétration que du contact de nos deux peaux, et nous bougeons avec indécence à la rencontre de la caresse. Ses doigts énormes et boudinés ravagent nos culs qui se distendent à l’envi.

Lorsqu’ils nous pénètrent enfin vraiment, c’est le phallus de Denis qui s’enfonce en moi tandis que le cul de ma compagne est défloré par Jenny et le gode. Deux rudes mains masculines me branlent. Mon amie voit son vagin et son clitoris délicieusement maniés par des mains féminines expertes. Après mille arabesques, les quatre mains cramponnent fermement nos seins déjà excités par les caresses. Puis elles concentrent leurs efforts sur nos hanches devenues plus sensibles. Nous voici joyeusement défoncés. J’ai senti la semence de mon amant envahir mon colon avec un grand plaisir, mais mon vit est resté de marbre, tendu à demi. Je ne sais ce qu’ont éprouvé les filles mais j’imagine, d’après ce que j’ai entendu, que c’est de même nature.

Nous passons la nuit à jouer avec nos corps et à expérimenter l’inconnu. Je fais mes gammes sur une Jenny aux mouvements langoureux. Mon amie chevauche allégrement son volumineux partenaire qui l’oblige à s’écarteler. Bientôt les deux filles se livrent à un 69 effréné, tandis que je m’endors à demi, couché sur l’immense corps de Denis, qui fouraille mes zones érogènes. Lorsqu’au matin, le soleil se lève sur un paysage de neige, nous sommes honteux et fourbus. Nous avons découverts l’échangisme bisexuel. Et c’est une sacrée découverte !

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